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Monde. Le discours de l’establishment sur la maladie X est-il le prélude à une nouvelle pandémie mondiale imminente ?

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Pour la majorité des personnes dont les informations proviennent de l’extérieur du cartel médiatique de l’establishment, lorsque la machine de propagande se met à parler, c’est le signe que quelque chose se prépare à l’horizon. La nouvelle aberration qui flotte dans l’air en cette période d’été relativement paisible, est la « maladie X », qui, selon certains, serait le prélude à une nouvelle pandémie mondiale.

À l’heure actuelle, les discussions sont encore légères, mais au cours du dernier mois, et plus encore de la dernière semaine, le sujet présentait le même type de schéma que celui relatif aux nombreuses crypto-monnaies de Ponzi dont le prix des jetons est sur le point de quintupler.

Ensuite, le contingent des relations publiques entame une campagne systématique de battage, et tous les petits investisseurs individuels de l’argent misé, sont amenés à faire don de la richesse accumulée par leur famille alors que le but du jeu était de s’enrichir rapidement.

Au final, le résultat est toujours le même : les gens ordinaires se font malmener et doivent payer l’addition tandis que ceux qui sont à l’origine des machinations peuvent s’offrir un nouveau yacht.

Polémique sur les catastrophes

Le cas le plus récent concerne un article publié le 26 juin par The Daily Mail. Ce média est connu pour ses titres de pas moins de 500 mots, incluant des éléments d’information clés, tels que « La "maladie X " pourrait-elle être au coin de la rue ? ».

On y apprend qu’un « professeur de haut niveau » alerte que le Royaume-Uni doit « renforcer » ses préparatifs en vue de la « possibilité » d’une « nouvelle pandémie ».

Alors que l’on pourrait penser qu’il y a suffisamment de nouvelles pandémies, entre ce cher Coronavirus (Covid-19), la variole du singe et l’épidémie de MST à méningocoques qui saccage la communauté homosexuelle du monde entier, ainsi qu’un nouvel épisode de « Super Gonorrhée » qui a frappé un Autrichien hétérosexuel de 50 ans « après un contact sexuel sans préservatif au Cambodge », il y a bien plus !

Le titre de l’article nous fait savoir que ce nouveau paradigme de possibilités intervient « au cœur d’épidémies de « covidie », de variole du singe et de poliomyélite au Royaume-Uni », ce qui implique que la « maladie X » ne correspond à « aucune de ces maladies ».

L’article évoque la myriade de maladies qui frappent différentes parties du monde, tout en se référant à l’Organisation Mondiale de la Santé (L’OMS), notoirement compromise et peu fiable, qui a averti l’année dernière « que la prochaine pandémie pourrait être "de l’ampleur " de la peste noire, qui a tué environ 75 millions de personnes entre 1346 et 1353 ».

Cependant, le corps de l’article ne fait pas référence à la « maladie X ».

En revanche, un article du Daily Mirror fournit des informations suscitant la peur et susceptibles de provoquer l’hystérie.

Dans un communiqué intitulé  New Disease X Could Arrive Any Day as Virus Outbreaks « Getting Worse » Amid Polio in UK (Une nouvelle maladie X pourrait arriver d'un jour à l'autre alors que les épidémies de virus « s'aggravent » au milieu de la polio au Royaume-Uni), on peut lire : « nous vivons une " nouvelle ère pandémique " selon les experts, qui affirment que la prochaine ’maladie X’ pourrait être juste au coin de la rue ».

L’article déclare que : « la maladie X est un nom provisoire adopté par l’OMS il y a trois ans, représentant un pathogène hypothétique, encore inconnu, qui pourrait provoquer une future épidémie. »

The Mirror et The Daily Mail citent notamment tous deux une déclaration de Mark Woolhouse, professeur à l’université d’Édimbourg, faisant référence à l’apparition de différentes maladies, disant : « il existe un nom pour ce que nous observons actuellement. Cela s’appelle du bavardage »

Certains des premiers échanges médiatiques sur la maladie X proviennent en fait du Canada

Le 9 mai, le site internet de l’Université de Maclean’s a publié une interview de Patricia Gauthier, directrice générale de la nouvelle division canadienne de l’entreprise, dans un article de fond pour Moderna.

Tout en soulignant le manque de production nationale de vaccins au Canada, Patricia Gauthier a déclaré : « Ce que nous n’avions pas au Canada, et que les autres pays n’avaient pas non plus, c’était un plan de lutte contre la maladie X, l’agent pathogène potentiel qui peut devenir une pandémie. »

Ses autres commentaires laissent ensuite entendre que la maladie X est en réalité juste ce que sera le prochain virus médiatisé : « la maladie X était le SRAS-CoV-2 », a-t-elle dit.

Elle a ensuite déclaré que Moderna « a essayé de créer une nouvelle solution avec le gouvernement fédéral », car « notre plateforme, l’ARNm, nous permet de développer des vaccins rapidement. »

Cette plateforme, que Patricia Gauthier qualifie de « changement de paradigme par rapport à ce que nous étions auparavant », fait référence au message officiel de l’entreprise, qui décrit littéralement sa thérapie génique comme un « système d’exploitation » pour le corps humain.

En septembre de l’année dernière, Moderna avait développé une panoplie d’au moins 37 produits de thérapie génique conçus pour jouer le rôle de vaccin contre différents virus.

Le casting habituel

Une recherche basique sur la maladie X donne des résultats en première page de la part des personnalités habituelles.

Parmi elles, on trouve notamment la fameuse EcoHealth Alliance, un entrepreneur de défense du gouvernement américain qui a sans doute les liens les plus forts avec le gain de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan du Parti communiste chinois (PCC), qui a donné naissance au SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la Covid-19.

Un article de 2018 du site EcoHealth intitulé Disease X : the Next Pandemic, affirme sans ambigüité : « Ce n’est pas de la science-fiction, c’est du réel. »

L’article s’ouvre en déclarant : « à des kilomètres de la ville la plus proche, au plus profond des recoins sombres d’une grotte de la province du Guangdong, elle attend », et explique que la maladie X n’est qu’un substitut « donné à la menace très sérieuse que les virus inconnus représentent pour la santé humaine. »

Il poursuit : « nous n’avons aucune idée de ce que la maladie X peut faire, parce que nous ne savons pas ce qu’est la maladie X ».

En outre, EcoHealth explique au public que la Terre est porteuse de quelque 1,67 million de virus inconnus, dont 831 000, selon ses estimations, peuvent infecter un être humain. Ils disent qu’actuellement, la science est seulement assez développée pour en reconnaître 263.

De ce fait, tout le monde essaie de rester à l’affût des menaces pour assurer la sécurité de l’humanité. l’organisation déclare : « nous savons quelles espèces sont le plus susceptibles d’être porteuses de la maladie X. Nous connaissons les familles virales auxquelles la maladie X est la plus susceptible d’appartenir et, par conséquent, quels virus connus sont susceptibles d’être similaires. »

« Grâce à notre carte des points chauds du risque de pandémie mondiale, nous connaissons les régions du monde où la maladie X est la plus susceptible d’apparaître chez l’homme. »

« Alors, c’est là que commence notre recherche », ont-ils ajouté.

En décembre 2021, les Nations Unies ont également publié un article sur la maladie X, où les pièces du puzzle commencent à s’assembler : « le X dans " maladie X " représente tout ce que nous ne savons pas. »

« Il s’agit d’une nouvelle maladie, dont nous saurons très peu de choses lors de son apparition : elle peut être mortelle ou non, très contagieuse et menacer notre mode de vie. Nous ne savons pas non plus quand ni comment elle franchira la frontière virale et infectera les gens. »

L’ONU a fait une déclaration de mauvais augure : « ce que nous savons, c’est que la prochaine maladie X arrive et que nous devons être prêts. »

L’article indique notamment que l’« aspiration » de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations - CEPI - (Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies), est « d’être capable de répondre… avec un nouveau vaccin en seulement 100 jours ».

Dans un article de février 2021 sur la maladie X, la CEPI elle-même déclare : « La Covid-19 représente la première occurrence de la maladie X depuis que sa désignation a été établie, émergeant beaucoup plus tôt que prévu. »

Il s’avère que l’opération Warp Speed de l’ère Donald Trump a effectivement produit une injection contre la Covid-19 en bien moins de 100 jours.

Si l’on considère la chronologie du vaccin Covid-19 de Moderna, la société s’est en fait vantée que les « autorités chinoises » avaient « partagé » avec elle « la séquence génétique » de la pneumonie de Wuhan qui avait mis à sac la ville de Wuhan et une grande partie de la Chine continentale, depuis octobre 2021.

Il n’a fallu que deux jours à l’entreprise pour « finaliser la séquence » de son injection de mRNA-1273 et à peine plus d’un mois pour expédier un lot de produit au NIH d’Anthony Fauci.

63 jours après avoir reçu des renseignements directement du PCC, Moderna et les NIH ont commencé les injections à l’homme.

Une théorie raisonnable

Dans un tweet du 26 juin, Jonathan Weissman, créateur du site web AllTheRisks.com , qui partage les préoccupations relatives aux vaccins Covid-19 de thérapie génique existants, a émis une théorie sur ce qui nous attend.

« Je m’attends à ce que le variant pathogène immunitaire émerge très bientôt et soit étiqueté comme le variant χ (de l’alphabet grec Chi). En fin de compte, je m’attends à un changement de nom de la Covid-19, car la nouvelle souche serait totalement différente du virus original libéré par le laboratoire de Wuhan en 2019, peut être renommé Covid-X ou similaire. »

L’Omicron actuel, dont les groupements sont si nombreux que nous en sommes maintenant à BA.4 et BA.5, est cependant à six lettres de la lettre Chi.

L’analyse de Jonathan Weissman a quelques fondements dans la numérologie, l’histoire et la culture, il explique : « Pour ceux qui sont ouverts à considérer de telles choses, considérez que l’apôtre Jean a écrit le livre de l’Apocalypse en grec. Seules 6 lettres grecques sont utilisées pour les nombres. 6 est le nombre de l’homme. I, V, X, L, C, D. On les additionne ? 666. »

Il souligne en outre que numériquement parlant, Covid-19 donne 616, un nombre significatif car une découverte en 2015 du manuscrit Papyrus 115 faisant référence au verset 13:18 de l’Apocalypse, a défini la marque légendaire de la Bête comme étant 616, plutôt que 666.

« Ainsi, depuis l’année dernière, je m’attends à ce que Covid-19 soit rebaptisé Covid-X ou quelque chose incorporant également le 6ème chiffre romain, L, pour donner 666, selon le véritable nombre de la bête », a conclu Jonathan Weissman.

Rédacteur Fetty Adler
Collaboration Jo Ann

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