Selon le Forum de Davos, l’augmentation du coût de la vie représente le plus grand risque mondial auquel le monde devra faire face au cours de la prochaine décennie. Les catastrophes naturelles et climatiques figurent au deuxième rang.
Environ une semaine avant leur convention à Davos, en Suisse, le 11 janvier, les membres du WEF ont publié le Global Risks Report 2023. Les conclusions sont basées sur une enquête menée auprès de 1 200 « experts en risques mondiaux, décideurs politiques et dirigeants d’entreprises » afin d’identifier les risques les plus importants auxquels le monde est susceptible d’être confronté.
Le rapport de cette année, comme celui de chaque année, dépeint une image sombre de notre monde futur. « La prochaine décennie sera probablement marquée par des crises environnementales et sociales alimentées par des tendances géopolitiques et économiques sous-jacentes », indique le rapport.
« Nous avons vu un retour des anciens risques, inflation, crises liées au coût de la vie, guerres commerciales, sorties de capitaux des marchés émergents, troubles sociaux généralisés, confrontations géopolitiques et spectre d’une guerre nucléaire », avertit le rapport avec sévérité.
À la question de savoir ce qu’elles considèrent comme la plus grande menace pour le monde dans les deux prochaines années, la plupart des personnes interrogées ont répondu « la crise du coût de la vie », tout en désignant « l’incapacité à atténuer le changement climatique » comme le plus grand risque mondial à long terme pour la prochaine décennie.
La grande réinitialisation
Le Forum économique mondial (World Economic Forum - WEF), un groupe de réflexion international mondialiste qui réunit des politiciens de haut niveau, des chefs d’états, des chefs d’entreprises et des personnalités du showbiz influents, se réunit à Davos, en Suisse, du 16 au 20 janvier, pour son partage annuel visant à décider du sort de notre économie, de la planète et de l’humanité.
Le thème du sommet de 2023 était « Travailler ensemble dans un monde fragmenté ». Comme prévu, il a été dirigé par l’architecte et président du WEF, Klaus Schwab, champion de la « grande réinitialisation ».
Selon Klaus Schwab, la pandémie a fourni une « étroite fenêtre d’opportunité » pour créer une grande réinitialisation afin de remodeler notre société mondiale en une société plus résiliente, inclusive et programmée.
Klaus Schwab a également détaillé ses idées dans plusieurs ouvrages, notamment The Fourth Industrial Revolution.
Klaus Schwab aurait perdu le sommeil en raison de la surpopulation mondiale. Il est un grand partisan de la vaccination de masse. En outre, le Forum économique mondial joue un rôle clé dans la mise en œuvre des objectifs mondiaux de développement durable, tels qu’ils sont énoncés dans l’illustre Agenda 2030, un contrat avec les Nations unies que presque tous les dirigeants du monde se sont engagés à respecter d’ici 2030.
Le Forum s’attaque au réchauffement climatique
Depuis le début du déploiement de l’Agenda 2030, en 2017-2018, les gouvernements nationaux ont poussé sans relâche des réformes qui ont rarement servi le peuple, mais qui étaient destinées à atteindre les objectifs du sacré Agenda 2030 en vue de contenir un prétendu virus mortel, de remodeler la production alimentaire ou, plus particulièrement, de lutter contre le « réchauffement climatique. »
Alors que le changement climatique et la réduction de l’empreinte carbone restent prédominants dans l’agenda du Forum, les invités n’ont pas abandonné leurs jets privés, hélicoptères ou autres limousines gourmandes en essence.
De plus, 5 000 soldats supplémentaires ont été appelés pour aider les forces de police locales à assurer la sécurité des quelque 2 500 invités.
Cet étalage de forces environnementalistes mondialistes n’est pas du goût de tout le monde, comme l’a commenté l’auteur à succès Marc Friedrich sur Twitter : « 5 000 soldats protègent 2 500 invités qui arrivent avec plus de 2 000 avions privés et se font servir de la nourriture gastronomique. L’empreinte CO₂ s’étend de Casablanca à Istanbul. Mais les autres devraient économiser, consommer moins, manger autrement, partager, payer. »
Rédacteur Fetty Adler
Collaboration Jo Ann
Source : WEF Members Consider Rising Cost of Living Greatest Risk to World
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