Powell se prépare à déposer une plainte RICO massive contre Dominion et Smartmatic
L’avocate Sidney Powell se prépare à engager des poursuites contre les sociétés de système de vote Dominion Voting Systems et Smartmatic en vertu de la loi sur les organisations influencées par le racket et la corruption (RICO). La loi RICO est destinée à poursuivre le crime organisé, y compris les familles mafieuses.
Dans une interview avec Lou Dobbs sur Fox Business, Sidney Powell affirme avoir identifié quatre personnes clés qui ont des liens avec Dominion et Smartmatic. La liste comprend : Antonio Mugica, PDG de Smartmatic, Jorge Rodriguez, l’ancien ministre des communications du Venezuela, le programmeur informatique Gustavo Reyes-Zumeta, et Khalil Majid Mazzoub, qui a des liens avec le groupe terroriste Hezbollah.
Sydney Powell affirme que ces personnes ont été impliquées dans la conception et le développement des programmes et des machines de Dominion et de Smartmatic. Les systèmes comprennent un module de contrôle qui permet de s’y connecter et de manipuler le vote. Elle a déclaré que sa plainte se transformera en un « énorme dossier RICO », et a conseillé à Smartmatic et à Dominion de coopérer avec les forces de l’ordre avant qu’il ne soit trop tard.
UBS a des liens suspects avec la Chine. (Image : Capture d’écran / YouTube)
« Nous avons maintenant des rames et des rames de documents avérés de Smartmatic et de Dominion, apportant la preuve qu’ils ont planifié et mis en œuvre tout cela... Nous savons que 400 millions de dollars en provenance de Chine sont parvenus à Smartmatic quelques semaines seulement avant l’élection — que toute cette affaire est criblée de liens avec George Soros — Lord Malloch Brown en faisait partie tout comme d’autres employés de Dominion... Nous avons des preuves de la façon dont ils ont interverti les votes, de la façon dont cela a été conçu pour intervertir les votes, et que tout s’est passé exactement comme nous l’avons dit », a-t-elle déclaré à Dobbs.
La Chine et l’Iran ont eu accès à Dominion
Selon Sydney Powell, la stratégie d’ingérence dans l’élection présidentielle de 2020 a été initialement mise en œuvre au Venezuela par Hugo Chavez pour assurer sa réélection. Son successeur, Nicolas Maduro, a non seulement suivi son exemple mais a ensuite exporté le système de manipulation des élections vers d’autres nations. Son témoignage met également en évidence les liens du Dominion avec des entités et des individus de Chine et d’autres nations. L’analyse technique numérique des systèmes de Dominion a montré que ses serveurs étaient accessibles à des personnes en Chine et en Iran.
Les liens du Dominion avec des nations étrangères comprennent également sa propriété. En 2018, Staple Street Capital Group a fait l’acquisition de Dominion. Le 8 octobre, environ un mois avant l’élection présidentielle de 2020, Staple Street a levé plus de 400 millions de dollars auprès d’investisseurs avec l’aide de la banque suisse UBS. Selon certaines spéculations, une entité liée à la Chine aurait pu faire des investissements par le biais d’un intermédiaire, lui donnant une propriété partielle de Dominion. UBS elle-même a des liens suspects avec la Chine.
Un cadre supérieur d’un fonds spéculatif a déclaré que la structure et la vitesse de la collecte de fonds de Staple Street étaient anormales.
« En règle générale, lorsque vous collectez un fonds de capital-investissement combiné, il s’agit d’un processus d’un an avec de multiples échéances. Les fonds de capital-investissement ne sont pas levés en une seule fois, à moins qu’un seul client stratégique ne prenne en charge la totalité du fonds, ce qui peut être le cas si une seule banque est impliquée », a déclaré le directeur d’Epoch Times.
De plus, un superviseur électoral du comté de Coffee, en Géorgie, a démontré à quel point il est facile pour les opérateurs de manipuler les votes par le biais du système de Dominion. Un audit des machines de vote de Dominion a montré qu’il y avait un taux élevé d’erreurs de tabulation. Dans le comté d’Antrim, Michigan, les journaux de tabulation ont montré un taux d’erreur de près de 70 %. Les taux d’erreur élevés indiquent également que le système aurait pu envoyer un grand nombre de bulletins pour le processus d’adjudication.
Rédacteur Gabriel Olamsaint
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