Le 6 décembre dernier, le directeur américain du renseignement national, John Ratcliffe, a été interviewé par Fox News et a révélé qu’il y avait bien eu une ingérence étrangère dans l’élection américaine, et que le Parti communiste chinois avait utilisé la pandémie pour influencer l’élection.
Récemment, John Ratcliffe a publié un article dans Wall Street Journal pour avertir que le Parti communiste chinois est la plus grande menace pour les États-Unis et le monde libre, et il a réitéré ce point dans l’interview. Il a déclaré : « Tout d’abord, l’ensemble des renseignements que nous possédons montre au peuple américain que la Chine est la plus grande menace pour la sécurité nationale des États-Unis ».
John Ratcliffe a déclaré à l’animatrice Maria Bartiromo que le Parti communiste chinois utilisait la crise sanitaire provoquée par la pneumonie de Wuhan comme moyen d’interférer les élections.
Le Parti communiste chinois, sachant que Covid-19 était hautement contagieux, a permis au virus de se propager de la Chine au reste du monde. Ils ont délibérément minimisé la crise sanitaire chez eux et à l’extérieur, ils ont fait pression sur l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour qu’elle permette au virus de se propager dans le monde entier. Non seulement elle a dévasté l’économie mondiale et fait des millions de victimes, dont des centaines de milliers d’Américains, mais elle a également eu de mauvaises répercussions politiques. La pandémie n’affecte pas seulement les personnes pour lesquelles les électeurs votent, mais aussi la manière dont ils votent.
En tant que directeur du renseignement national, John Ratcliffe a accès aux renseignements les plus complets et les plus récents et rapporte directement au président. Pour la première fois, John Ratcliffe a confirmé les rumeurs d’ingérence étrangère qui circulent depuis l’élection, révélant que la communauté du renseignement américain a vu et rapporté des cas d’ingérence étrangère dès 2016.
« Du point de vue de la communauté du renseignement, nous avons en effet confirmé qu’il y a des puissances étrangères qui se mêlent et influencent l’élection. »
John Ratcliffe a fait valoir que l’élection présidentielle n’avait jamais été précédée d’un vote par correspondance, ce qui explique les nombreuses questions que suscite son résultat.
« Concrètement, nous avons eu un vote national par correspondance sans précédent, près de 73% des Américains ont voté avant le jour du scrutin, la plupart par courrier. C’est une augmentation de 80 % par rapport aux votes précédents » a-t-il déclaré. Il n’est donc pas surprenant que nous constations toutes sortes de problèmes résultant du vote par correspondance, ceux soulevés dans le cadre du procès et par le peuple américain.
John Ratcliffe a déclaré que la fraude électorale était si répandue qu’elle devait faire l’objet d’une enquête.
Les services postaux américains, par exemple, ont déclaré qu’ils avaient transporté environ 200 000 bulletins de vote de New York en Pennsylvanie. Alors que les dizaines de milliers de bulletins de vote par correspondance n’étaient ni pliés ni froissés ni salis... Dans certains endroits, le nombre de bulletins de vote reçus a été supérieur à celui des bulletins envoyés. Des valises remplies de bulletins de vote déposées sous les tables et sorties par les gens après le départ des surveillants, des vidéos de surveillance ont été prises et des explications douteuses sur ces faits irréguliers. Ces cas de fraude électorale doivent faire l’objet d’une enquête. La fraude électorale est si importante qu’elle ne concerne pas seulement une personne ou un groupe de personnes, mais toute l’Amérique.
Le haut responsable du renseignement a également déploré : « De nombreux Américains pensent que le décompte des votes n’est pas juste et que le processus au niveau de l’État et au niveau local ne l’est pas non plus. »
L’avocate Sidney Powel a révélé que le Parti communiste chinois et d’autres puissances étrangères utilisaient le système de vote du Dominion pour manipuler les élections américaines. Elle était l’avocat de la défense du général Michael Thomas Flynn, un ancien directeur de l’Agence de renseignement de la défense américaine, nommé par Donald Trump pour être son assistant aux affaires de sécurité nationale.
Axios, un site Web d’information américain, rapporte que c’est le prélude au Blitzkrieg de relations publiques de la Maison Blanche, qui sera suivi d’une série d’annonces visant à sensibiliser l’ensemble du gouvernement américain au sujet du Parti communiste chinois et à établir un consensus et une compréhension sur ses intentions de remplacer les États-Unis en tant que force dominante dans le monde.
L’article de John Ratcliffe révèle que le Parti communiste chinois a lancé une campagne d’influence étrangère massive qui vise des dizaines de membres du Congrès américain et d’assistants du Congrès. Les efforts de Pékin à cet égard sont six fois plus importants que ceux de la Russie et douze fois plus importants que ceux du gouvernement iranien. En réponse à la menace communiste, John Ratcliffe a affecté 85 milliards de dollars de son budget annuel de renseignement pour se concentrer davantage sur le Parti communiste chinois.
Rédacteur Yi Ming
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