Le 20 avril, les avocates Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum, basées au Royaume-Uni, ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI), affirmant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité, de génocide et de violation du Code de Nuremberg au nom de la Covid-19.
Le 28 avril, la Cour pénale internationale a accusé réception de la demande et a attribué un numéro de dossier aux deux avocates. Depuis lors, Melinda Mayne et Kaira Mc Callum ont rassemblé des preuves pour étayer leurs affirmations. Le 17 août, un communiqué de presse des deux avocates indiquait qu’elles avaient reçu des déclarations sous serment d’experts du monde entier, dont le professeur Luc A. Montagnier, lauréat du prix Nobel de médecine, le Dr Richard M. Fleming, cardiologue nucléaire, et le Dr Kevin W. McCairn, neuroscientifique.
Les avocats ont demandé à la CPI d’examiner le « génocide des personnes âgées » qui a eu lieu dans les hôpitaux et les maisons de soins
Les deux avocates ont déclaré qu’elles disposaient désormais de « preuves irréfutables » que la Covid-19 et les vaccins sont des « armes biologiques délibérément conçues » libérées en deux phases sur les « populations du monde entier qui ne se doutent de rien ».
Les avocates ont demandé à la CPI d’examiner le « génocide des personnes âgées » qui a eu lieu dans les hôpitaux et les maisons de soins. Une enquête sur « l’utilisation inappropriée » de la morphine et du midazolam a également été demandée. Une équipe d’avocats et d’experts qui a mené une autre enquête sur la question a envoyé une lettre au gouvernement britannique et à des responsables tels que Matt Hancock et Chris Whitty, les avertissant que s’ils ne fournissaient pas de réponses satisfaisantes, une action pénale privée serait engagée contre eux.
Melinda Mayne et Kaira McCallum ont été rejointes par des avocats de Slovaquie, de République tchèque et de France pour déposer une plainte commune, demandant à la Cour pénale internationale un moratoire sur « l’ensemble du programme de vaccination Covid-19 » dans les quatre nations, ainsi que l’arrêt des tests sur les personnes asymptomatiques.
« Compte tenu de la nature extrêmement grave de la situation qui prévaut dans nos quatre pays en ce qui concerne l’aggravation de l’apartheid médical, la perte des libertés et des droits fondamentaux et le nombre très élevé et sans cesse croissant de décès et d’effets indésirables graves subis par les personnes ayant reçu des vaccins Covid-19, nous avons porté à l’attention de la CPI la nécessité urgente pour la Cour d’agir rapidement et sans plus attendre », indique le communiqué de presse.
L’un des experts cités par les avocates, le professeur Luc Montagnier, est célèbre pour avoir remporté le prix Nobel de physiologie ou de médecine en 2008 pour ses travaux de recherche sur le VIH. En avril dernier, il a déclaré que le nouveau coronavirus responsable de la pandémie aurait pu être créé en laboratoire.
Dans une interview accordée à Hold-Up Media en mai, Luc Montagnier a affirmé que les variants du coronavirus sont dus à la vaccination. Le virologue français a qualifié le programme de vaccination massive contre la Covid-19 d’« erreur inacceptable » et d’« erreur scientifique et médicale ». Selon lui, les anticorps créés par les vaccins forcent le virus du SRAS-CoV-2 à muter en de nouveaux variants.
« Que fait le virus ? Est-ce qu’il meurt ou trouve une autre solution ? Il est clair que les nouveaux variants sont créés par la sélection médiée par les anticorps, due à la vaccination », a déclaré Luc Montagnier. Il a ajouté que cette tendance peut être observée dans « chaque pays » où la « courbe de la vaccination est suivie de la courbe des décès ».
Vaccins, infections et décès
La question de l’augmentation des infections à la Covid-19 après vaccination a été soulevée en février dernier par un groupe de médecins. Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA), les médecins ont souligné les nombreux rapports faisant état de « maisons de soins frappés par la Covid-19 quelques jours après la vaccination des résidents ». Les médecins ont déclaré qu’ils étaient préoccupés par cette question et qu’il n’y a pas beaucoup d’examens minutieux à ce sujet.
« Nous nous demandons si les questions essentielles concernant la sécurité des vaccins ont été traitées de manière adéquate avant leur approbation par l’Agence européenne des médicaments (EMA) », indique la lettre.
Selon un rapport publié le 15 septembre par le Dr Joseph Mercola, auteur à succès cité par le New York Times et lauréat de plusieurs prix dans le domaine de la santé naturelle, les patients vaccinés inondent les hôpitaux du monde entier.
Le 1er août, la directrice des services de santé publique d’Israël, la Dr Sharon Alroy-Preis, a révélé que 50 % des infections dues à la Covid-19 concernaient des personnes entièrement vaccinées. Des données provenant d’Écosse montrent que 87 % des personnes décédées du coronavirus au cours de la troisième vague de la pandémie, qui a débuté en juillet, avaient été vaccinées.
Parmi les citoyens de plus de 50 ans au Royaume-Uni, les personnes vaccinées représentent 68 % des hospitalisations et 70 % des décès. En Islande, où plus de 82 % de la population a été vaccinée, 77 % des nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés chez des personnes entièrement vaccinées. Entre le 6 et le 24 juillet, 74 % des personnes diagnostiquées positives à la Covid-19 et 80 % des personnes hospitalisées dans le comté de Barnstable, Massachusetts, avaient reçu deux doses de vaccin Covid-19.
Une étude britannique publiée à la mi-août a révélé que les personnes entièrement vaccinées qui contractent la Covid-19 ont une charge virale plus élevée dans leurs voies nasales que les personnes non vaccinées qui sont infectées. La même constatation a été faite dans une étude menée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
De plus, une nouvelle étude publiée sur MedRxiv a montré que les garçons en bonne santé qui ont reçu des injections de Covid-19 à ARNm couraient plus de risques de développer une inflammation cardiaque après la vaccination que d’être hospitalisés pour cause de Covid-19, pour les garçons âgés de 12 à 17 ans qui ne présentaient pas de conditions médicales sous-jacentes. Les effets indésirables cardiaques observés sont survenus en moyenne deux jours après la vaccination, et 91,9 % sont survenus dans les cinq jours.
Rédacteur Fetty Adler
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