Depuis longtemps, la théorie de l’évolution de Darwin s’est imposée comme un principe général et comme la seule explication de l’origine et du processus d’évolution de l’homme. Cependant, Darwin lui-même espérait que les générations futures puissent trouver suffisamment de preuves pour appuyer sa théorie.
Ces dernières années, grâce au développement de la science et des technologies modernes, beaucoup de scientifiques et d’archéologues ont été surpris de constater que les récentes découvertes ne faisaient que remettre en cause cette théorie. Pour un scientifique avéré, lorsqu’une idée est fondamentalement opposée à des faits, on ne peut que croire aux faits. Alors pourquoi une théorie qui n’a pas été approuvée a pu aboutir à une doctrine enseignée dans quasiment toutes les écoles ? Pour en revenir à Darwin, ses hypothèses, ses doutes, ainsi que les récentes découvertes scientifiques vont peut-être amener à une intense réflexion et à réécrire les manuels d’enseignements scolaires pour les futures générations
Sur l’origine des espèces, Jean-Baptiste de Lamark (1744 -1829) soutenait dans trois de ses oeuvres publiées successivement en 1801, 1809 et 1815 que « toutes les espèces, l’homme compris, descendent d’autres espèces ».
Sous son influence, et inspiré par les théories de Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon (1707 – 1788), le naturaliste anglais Charles Darwin (1809 – 1882), a avancé sa théorie de l’Evolution dans son ouvrage : « L’origine des espèces : Au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie », publié en 1859, sur la base de ses observations portant sur l’élevage des animaux et plantes domestiques en Amérique du Nord.
Impressionné par diverses espèces d’êtres vivants, particulièrement certains pinsons qu’il avait observés chez les éleveurs dans les îles Galápagos, Darwin a supposé que la diversité de leurs becs était le résultat d’une adaptation à leur milieu naturel. Il supposait que dans la nature, c’est comme pour l’élevage, un tri s’opère naturellement au sein d’une espèce. Il a également avancé un ensemble de preuves montrant que les espèces n’ont pas été créées de manière indépendante et ne sont pas immuables.
Cet ouvrage est considéré comme le texte fondateur de la théorie de l’évolution et a beaucoup inspiré la communauté scientifique (biologie, philosophie, psychologie... ) au cours du XXe siècle.
Les lacunes de la théorie de Darwin
Pourtant, ses hypothèses ne reposaient sur aucune découverte archéologique ni expérience scientifiquement prouvée. Il a mentionné dans un chapitre, les difficultés de la théorie et ses lacunes telle que l’absence d’archives sur les fossiles : des organismes complexes d’êtres vivants qui ne peuvent pas être expliqués par la théorie du hasard. Il espérait que les futures générations trouveraient des preuves fossiles pour valider ses hypothèses.
À son époque, la génétique, la microbiologie, la biochimie et autres branches de la science, n’existaient pas encore. Ainsi, la structure et les fonctions de la cellule n’étaient connues que superficiellement, le microscope à électrons n’était pas encore conçu. Les gens ne pouvaient pas connaître ce qui se passait réellement à l’intérieur d’une cellule.
Si Charles Darwin avait connu les sciences d’aujourd’hui, il aurait admis que la moindre protéine n’aurait pas pu exister par hasard, encore moins une cellule toute entière. L’information déterminant les espèces existe déjà dans les gènes et il est impossible à la sélection naturelle de produire de nouvelles espèces à travers les changements dans les gènes.
Avec les continuelles découvertes dans le domaine, l’archéologie et les derniers développements de la biologie moléculaire, la théorie de Darwin a été confrontée à de sérieux défis sans précédent. Tout comme ce que Charles Darwin a écrit dans son livre : « Or, on ne peut arriver à un résultat satisfaisant qu’en examinant les deux côtés de la question et en discutant les faits et les arguments : c’est là chose impossible dans cet ouvrage ».
L’archéologie n’a jamais rien trouvé comme preuves tangibles pour expliquer comment on a évolué d’une espèce à l’autre et quel était l’état transitoire entre le singe et l’Homme. (Image : Pixabay.com)
Manque de preuves tangibles
La théorie de Darwin avance que l’évolution est la transformation du monde vivant au cours du temps, qui se manifeste par des changements graduels s’accumulant sur une longue période. Les résultats que les scientifiques observent à présent ne sont pas les mêmes. L’archéologie n’a jamais rien trouvé comme preuves tangibles pour expliquer comment on a évolué d’une espèce à l’autre et quel était l’état transitoire entre le singe et l’Homme.
Au contraire, les découvertes archéologiques du « Site fossilifère de Chengjiang » ont fortement attiré l’attention des médias internationaux et ont choqué les communautés archéologiques et biologiques. Le site fossilifère de Chengjiang contient des fossiles du début du Cambrien (il y a 550 millions d’années).[1]
L’explosion cambrienne (entre −541 et −530 millions d’années) désigne l’apparition soudaine de la plupart des grands embranchements actuels de métazoaires (animaux pluricellulaires) ainsi qu’une grande diversification des espèces animales, végétales et bactériennes. Certains auteurs n’hésitent pas à parler de « big bang zoologique au Cambrien », avec l’apparition en quelques dizaines de millions d’années de la quasi totalité des grands plans d’organisation connus actuellement (Annélides, Mollusques, Échinodermes, Chordés, etc.). Alors qu’avant le Cambrien, les fossiles multicellulaires étaient très rares.
Selon des reportages de médias britanniques du 27 décembre 2010, des archéologues israéliens ont découvert dans une grotte des fossiles et d’autres restes de dents d’Homo Sapiens datant d’environ 400 000 ans, très similaires à ceux de l’homme moderne. Après les examens aux rayons X et à la tomographie, les scientifiques ont déclaré qu’il s’agissait des plus anciennes reliques humaines. Selon la théorie de Darwin, à cette époque, les ancêtres humains étaient encore des singes : comment pourrait-il y avoir des dents semblables à celles des êtres humains modernes ? [2]
Le biologiste américain Michael J. Behe a pris une série de mécanismes biochimiques de coagulation sanguine pour expliquer que des phénomènes de vie aussi compliqués et précis ne peuvent pas se produire par évolution. (Image : Pixabay.com)
La biochimique de la coagulation sanguine
Deuxièmement, de nombreux chercheurs ont calculé la probabilité du développement des nouvelles espèces, suite aux mutations génétiques, et ont découvert qu’elle s’avérait étonnamment restreinte. Le biologiste américain Michael J. Behe (né le 18 janvier 1952) prend une série de mécanismes biochimiques de coagulation sanguine comme exemple dans son œuvre Darwin’s Black Box : The Biochemical Challenge to Evolution pour expliquer que des phénomènes de vie aussi compliqués et précis ne peuvent pas se produire par évolution. L’apparition de l’une de ces protéines (T-PA) a un taux de probabilité de 1/10 puissance 18, et il faut au moins 10 milliards d’années pour que ça arrive. Pour qu’une autre protéine qui interagit avec celle-ci apparaisse en même temps par le mécanisme de l’évolution, le taux de probabilité est de 1/10 puissance 36... Actuellement, on estime que l’univers ne serait âgé que de 20 milliards d’années. c’est-à-dire qu’il est presque impossible de générer de nouvelles espèces par mutation.[3]
Une autre hypothèse de la théorie de Darwin repose sur l’évolution des espèces par les moyens de lutte, seul les mieux adaptés à leur environnement peuvent survivre. Pourtant, des recherches récentes démontrent que les individus non adaptés à l’environnement peuvent également survivre et cohabiter en harmonie avec des individus plus « forts ». Une étude publiée dans la revue Nature, menée par l’Université d’Exeter au Royaume-Uni, l’Université de Bath et l’Université d’État de San Diego aux États-Unis a révélé que la biodiversité peut évoluer d’une manière qui était auparavant considérée comme impossible.
Les tests de l’évolution bactérienne
Le professeur Robert Beardmore de l’Université d’Exeter au Royaume-Uni a déclaré: « Les microbiologistes ont testé ce principe en créant des environnements très simples en laboratoire pour voir ce qui se passe après des centaines de générations d’évolution bactérienne, environ 3000 ans en termes humains. On pensait qu’il ne resterait que le génome des bactéries les plus aptes, mais ce n’était pas leur constat. Les expériences ont généré beaucoup de diversité génétique inattendue ».[4]
La biodiversité a également été testée lors d’expériences en éprouvettes, mais les résultats n’ont pas été démontrés de façon probante du fait que les expériences n’auraient pas été menées assez longtemps. De nouvelles recherches montrent que ces expériences semblaient correctes et que les hypothèses évolutionnistes étaient incorrectes.
Le professeur Laurence Hurst de l’Université de Bath a déclaré : « La clé de cette nouvelle compréhension est la prise de conscience que la quantité d’organismes énergétiques qui proviennent de leur nourriture dépend de la quantité de nourriture dont ils disposent. Si vous leur donnez suffisamment de nourriture, ils l’utilisent alors de manière inefficace. Lorsque nous combinons cela avec la notion que les organismes ayant différentes stratégies d’utilisation des aliments sont également affectés de différentes manières par des mutations génétiques, nous découvrons alors un nouveau principe, dans lequel à la fois l'ajustement et l’inaptitude coexistent indéfiniment ».
Ils pensent que la raison en est que les bactéries qui n’ont relativement aucun avantage peuvent utiliser différentes stratégies d'utilisation des aliments pour atteindre la coexistence avec les bactéries prioritaires.
Le Dr David Lipson de l’Université d’État de San Diego a conclu que : « Des travaux antérieurs ont montré que des stratégies d’utilisation des aliments opposées pouvaient coexister dans des environnements complexes, mais c’est la première fois que cela a été démontré dans l’environnement le plus simple. Cela peut également conduire à la biodiversité ».
Fragment principal de la machine d’Anticythère. Le mécanisme consiste en un système complexe de 32 roues et plaques portant des inscriptions relatives aux signes du zodiaque et aux mois. L’étude des fragments suggère qu’il s’agissait d’une sorte d’astrolabe utilisée pour la navigation maritime. La machine est datée de 89 avant J.-C. environ. (Image : wikimedia / CC by 2.5)
Les civilisations préhistoriques
D’ailleurs, avec le développement rapide de la science et de la technologie, les scientifiques ont découvert récemment divers vestiges et monuments culturels bien au-delà de l’histoire de la civilisation moderne dans le monde, tels que les réacteurs nucléaires qui auraient daté d’il y a 2 milliards d’années, la « pile électrique de Bagdad », la « machine d’Anticythère » et le « pilier de fer de Delhi », entre autres.[5]
Les scientifiques poursuivent leurs recherches, mais à leur grande surprise, certaines civilisations préhistoriques ont mis au point une technologie plus avancée que celle que nous avons aujourd’hui. Cela signifie que la véritable histoire de la civilisation humaine est un processus cyclique continu, tout comme le métabolisme du corps humain : avec la désintégration des cellules anciennes, de nouvelles cellules naissent, se divisent, se désintègrent, puis un nouveau cycle de cellules apparaît : et cela à plusieurs reprises.
Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont découvert des vestiges de civilisations préhistoriques au fond des océans. Les techniques de construction qu’ils présentent ne peuvent être expliquées par notre histoire moderne, car elles sont trop anciennes.
Deux cents mètres sous la côte du Pérou, des colonnes en pierre sculptée et d’immenses bâtiments ont été découverts. Depuis 1968, d’immenses bâtiments en pierre ont été découverts dans les fonds sous-marins de l’archipel de Bimini, dans les Bahamas, notamment des rues, des quais, des murs effondrés et des portes. Étonnamment, ils ressemblent beaucoup aux piliers en pierre de Stonehenge et possèdent les mêmes caractéristiques que celles des sites mégalithiques trouvés au Pérou. Ces bâtiments sous-marins sont étroitement structurés et ne peuvent pas avoir été construits sans un niveau de connaissances extrêmement développé.
Dans cette capture d’écran d’une vidéo du Discovery Institute, les scientifiques expriment leur scepticisme quant à la théorie de l’évolution de Darwin. (Image : Capture d’écran / Discovery Institute)
Une dissidence scientifique contre le darwinisme
Au sein de la communauté scientifique, nombreux sont ceux qui ne sont pas d’accord avec Darwin. Il y a eu des scientifiques de renom qui croyaient aux divinités. Le biologiste français Louis Pasteur (1882-1895) disait « Plus j’étudie la nature et plus je suis émerveillé par les travaux de Notre Créateur. La science me ramène au plus près de Dieu » (John Hudson Tiner, « Louis Pasteur, fondateur de la médecine moderne », 1990). Isaac Newton (1643 – 1727), physicien, mathématicien, astronome, alchimiste et théologien anglais, également très croyant a affirmé : « La gravité explique les mouvements des planètes, mais elle ne peut pas expliquer qui a mis les planètes en mouvement. C’est Dieu qui régit toutes les choses et qui sait tout ce qui existe ou peut exister » (Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica, 1687).
Depuis 2001, la date de publication de la liste Une dissidence scientifique contre le darwinisme du Discovery Institute, organisme à but non lucratif basé à Seattle, des centaines de scientifiques ont courageusement ajouté leurs noms, mettant en doute le principe du Darwinisme : la sélection naturelle à travers la lutte et les preuves de cette théorie.
De nos jours, les émissions de télévision, certaines déclarations politiques publiques, ainsi que les livres scolaires continuent à soutenir que la théorie de l’évolution de Darwin explique complètement la complexité de tous les organismes vivants. Le public faisant confiance à l’autorité continue à croire que toutes les preuves accumulées soutiennent le Darwinisme et que virtuellement tous les scientifiques dans le monde pensent que cette théorie est avérée. Ces scientifiques « dissidents » appellent à réexaminer scrupuleusement la théorie de Darwin face aux nouvelles découvertes et preuves trouvées.
Références :
[1] : https://www.zhengjian.org/node/9733 - 中国发现的化石挑战进化论
[2] : https://www.sciencedaily.com/releases/2011/02/110209105600.htm - Ancient teeth raise new questions about origins of modern humans
[3] : Darwin’s Black Box : The Biochemical Challenge to Evolution
[4] : https://news-archive.exeter.ac.uk/2011/march/title_132304_en.html - Research shows not only the fittest survive
[5] : https://www.zhengjian.org/node/5831 - 20亿年前的核反应堆
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