L’Arche de Darwin, située dans l’Est de l’océan Pacifique, était un célèbre point de repère dans les îles Galápagos, en Équateur. Le 17 mai 2021, elle s’est effondrée.
Le ministère équatorien de l’Environnement a annoncé l’effondrement de l’Arche de Darwin le 17 mai 2021, sur sa page Facebook. « Selon le rapport, le magnifique pont en pierre naturelle, l’Arche de Darwin, situé à moins d’un kilomètre de l’île Darwin, s’est effondré ». Le ministère a précisé que l’arche naturelle s’est effondrée en raison de « l’érosion naturelle » et les photos officielles montrent qu’il ne reste de l’Arche que deux piliers de pierre.
Aggressor Adventures, une société de voyage, avait également signalé le même jour dans un post Facebook que leurs voyageurs avaient vécu un événement unique dans leur vie lorsque l’Arche de Darwin s’est effondrée sous leurs yeux à 11h20, heure locale, et que des personnes prenaient des photos durant l’incident.
« L’endroit où Darwin a rompu avec Dieu »
Les îles Galápagos sont connues pour être le berceau de la théorie de l’évolution de Darwin et sont également considérées comme « l’endroit où Darwin a rompu avec Dieu ». L’archipel est célèbre pour sa flore et sa faune uniques. Il se compose de 234 îles, dont quatre seulement sont habitées, et compte environ 30 000 habitants. Le célèbre point de repère, l’Arche Darwin, était une structure rocheuse de 43 mètres de haut, 70 mètres de long et 23 mètres de large, une destination populaire pour les plongeurs et un repère pour le navire britannique.
En 1835, Darwin avait visité les îles Galápagos à bord du HMS Beagle, un navire d’exploration. Il a élaboré la théorie de l’évolution, qui présentait des lacunes. Selon un article publié dans le numéro de la revue Science du 7 mai, la plupart des explications sur les origines de l’homme depuis la théorie de l’évolution de Darwin sont incompatibles avec les archives fossiles.
Sergio Almécija, auteur principal de l’article et scientifique chevronné du département d’anthropologie du Musée américain d’histoire naturelle, avait déclaré dans un communiqué : « Lorsque vous lisez le récit des origines de l’homme, c’est un véritable fouillis et il n’y a pas de consensus ».
Un autre auteur, Ashley Hammond, conservateur adjoint d’anthropologie à l’American Museum of Natural History, avait déclaré : « Lorsque nous prenons en compte toutes les preuves, c’est-à-dire les singes et les hominidés existants et fossiles, il est clair que les théories de l’évolution humaine basées sur les quelques espèces de singes existantes sont vraiment mitigées ».
Une théorie sans preuves
Lorsque Darwin a proposé la théorie de l’évolution, il l’a fait en tant qu’hypothèse, sans fournir de preuves solides. En fait, la théorie de l’évolution était si imparfaite que Darwin a eu la témérité de la qualifier de « méchant casse-tête », lorsqu’il n’a pas réussi à expliquer l’origine des plantes à fleurs.
Dans L’origine des espèces, Darwin admettait que « l’hypothèse selon laquelle l’œil a été formé par la sélection naturelle semble la plus absurde et la plus ridicule de toutes ». Il avouait donc : « Jusqu’à présent, chaque fois que je pense à l’œil, je suis consterné ».
En fait, aucune preuve archéologique soutenant la théorie de l’évolution n’a jamais été trouvée, aucun fossile d’organismes dans un état intermédiaire de transition entre deux espèces n’a jamais été trouvé, et aucun humain ou animal dans un état intermédiaire de la soi-disant évolution n’a jamais été trouvé dans l’histoire de la civilisation humaine.
Au contraire, les scientifiques ont trouvé une multitude de preuves archéologiques qui réfutent la théorie de l’évolution. Le généticien néo-zélandais Michael Denton, dans son livre Theories in Crisis : Evolution, affirme sans ambages que « la théorie de l’évolution de Darwin est le plus grand mensonge du vingtième siècle ».
La sagesse de la Chine ancestrale plonge ses racines dans le Bouddhisme et le Taoïsme, la croyance dans le divin en est le socle et se retrouve dans tous les aspects de la vie. La théorie de Darwin a voulu rompre ce lien divin : au-delà de l’érosion naturelle, doit-on réfléchir à une autre explication pour l’effondrement ?
Rédacteur Charlotte Clémence
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