L’année Geng Zi est une année chronologique chinoise traditionnelle. « Geng » symbolise l’or Yang, donc le vent et l’arme, « Zi » représente le rat. Les anciens Chinois ont découvert que parmi les événements les plus importants du monde, beaucoup ont eu lieu en année Geng Zi. 2020 coïncide avec l’année Geng Zi, en effet, de nombreux événements importants ont eu lieu cette année dont cette pandémie qui est loin d’être finie. Est-ce que le monde et notamment la Chine se réveillera bientôt de ce cauchemar rouge qui a duré depuis un siècle ?
Le traumatisme éternel du peuple de Wuhan
Le Nouvel An chinois était censé être un moment de réunion de famille et de joie, mais une soudaine épidémie de pneumonie à Wuhan a détruit tous ces bons souhaits. Quelle est la source du virus ? Comment se fait-il qu’il y a eu des fuites ? Qui était le véritable patient zéro ? Cette série de procédures d’enquête normales pour toute investigation médicale demeurent pourtant toujours « non résolues » 9 mois plus tard en Chine dirigée par le Parti communiste chinois (PCC).
Le traumatisme éternel du peuple de Wuhan. (Image : 该图片由 / David Bawm / 在 / Pixabay /上发布)
Les marchés de fruits de mer, les animaux sauvages, les chauves-souris, les habitants de la ville de Wuhan et de la province du Hubei sont successivement devenus les boucs émissaires de la première vague de l’épidémie sous le Parti communiste chinois (PCC).
L’épidémie se propage rapidement de jour en jour et les affirmations officielles mais scandaleuses ne cessent de changer : il n’y a pas de transmission « d’homme à homme » du virus puisque celui-ci est « évitable et contrôlable », puis l’admission ultérieure d’une possible transmission « d’homme à homme » du virus et son classement en tant que la 5e catégorie de maladie infectieuse, En fin de compte, alors qu’il était vraiment impossible de dissimuler le mensonge, ils ont été contraints d’admettre l’existence d’une « transmission interhumaine » ainsi que des clusters et ont placé la pneumonie de Wuhan dans la catégorie B de la gestion des maladies infectieuses. Mais il était déjà trop tard et l’épidémie était complètement hors de contrôle.
Ce qui s’est passé le 23 janvier dernier restera une douleur éternelle dans le cœur de tous les habitants de Wuhan et un prélude au jour le plus sombre. Les autorités chinoises ont soudainement annoncé qu’elles allaient « confiner » Wuhan. C’est la première fois dans l’histoire humaine et dans le domaine de la santé publique qu’une grande ville de plus de 10 millions d’habitants était « confinée ».
Vidéo : Rendez-vous au printemps - Chanson dédiée aux Chinois à Wuhan
Pendant les 76 jours de « confinement », le PCC a admonesté les « lanceurs d’alerte », des personnes innocentes ont contracté le virus et sont décédées, de nombreuses familles ont connu le chagrin, la colère, le désespoir et même la mort. Pendant ces 76 jours et nuits, les habitants de Wuhan ont regardé au loin et n’ont pas pu dormir sous une telle pluie de misère et un vent si froid. Même s’ils s’endormaient, ils ne pouvaient jamais arrêter leurs larmes…… Après cette expérience d’enfer sans précédent, comment en soignera-t-on les traumatismes ?
Il est en plus ironique de constater que lorsqu’une nouvelle vague d’épidémie a refait surface en Chine continentale, le saumon norvégien et les fruits de mer congelés importés d’Amérique du Sud sont devenus les nouveaux boucs émissaires du PCC.
Face à plus de 24 millions de personnes infectées et plus de 830 000 personnes décédées à cause de la pneumonie de Wuhan dans les 188 pays du monde entier, où est la dignité de la Chine, symbole de la civilisation humaine, sous le Parti communiste chinois ?
Les Hongkongais ne cèdent pas au PCC
De même, Hong Kong, l’un des centres financiers internationaux du monde, n’a pas été épargné par la domination du PCC. La campagne « anti-extradition vers la Chine » qui a commencé en 2019 continue et la Hong Kong prospère de l’époque, appelée anciennement « Perle de l’Orient » a disparu à jamais.
Malgré son isolement international sans précédent, Pékin est toujours dans un état de lutte de pouvoir interne. Le Diable Rouge impénitent a introduit par force en août dernier la « version hongkongaise de la loi sur la sécurité nationale », qui non seulement a enveloppé de terreur rouge la Hong Kong prospère, mais a également dévoilé au monde le vrai visage de l’anti-démocratie et de l’anti-liberté du PCC.
L’esprit Bruce Lee au cœur, les Hongkongais refusent de céder au PCC. (Image : 该图片由 / Pixource / 在 / Pixabay /上发布)
Dans cette tempête sanglante, le peuple désarmé de Hong Kong s’est accroché sans relâche à sa puissante force spirituelle, les valeurs universelles et les valeurs morales. En colère, le Parti communiste chinois est également bien conscient de sa propre faiblesse fatale : le monstre communiste n’a nulle part pour se cacher face à la vérité. C’est précisément parce qu’il est fort de l’extérieur mais faible de l’intérieur qu’il ne peut que continuer à utiliser des moyens sans limite pour dissimuler sa faiblesse et sa panique intérieures. Alors que les habitants de Hong Kong qui défendent leur conviction avec beaucoup de sagesse et beaucoup de courage sont particulièrement nobles.
Les inondations : le peuple sinistré et désespéré
Depuis que la Chine est sous l’emprise du mouvement communiste puis du Parti communiste chinois il y a un siècle, les malheurs ne surviennent jamais seuls pour les Chinois. Cette année, outre le Covid-19, la Chine est également touchée par les tremblements de terre, les invasions de criquets et les inondations extrêmement dévastatrices. Avec des millions de personnes déplacées et au moins 70 millions de personnes touchées dans 26 provinces, la propagande qui félicite la grandeur, la brillance et la justice du PCC n’a jamais paru aussi impuissante.
Les inondations en Chine en été 2020. (Image : Hans Braxmeier / Pixabay)
Le bassin du Yangtsé a connu cinq pics de crue, chacun alarmant. En amont du barrage des Trois Gorges, le Grand Bouddha de Leshan, âgé de 1200 ans, dans la province du Sichuan, n’a pas non plus échappé aux inondations, le niveau de l’eau montant jusqu’aux orteils du Bouddha pour la première fois depuis les années 1940. Chongqing, ville historique et culturelle, a également dû lancer sa toute première intervention d’urgence de premier niveau.
Le barrage des Trois Gorges, qui, selon l’annonce officielle initiale, devait pouvoir résister aux inondations qui surviennent seulement une fois tous les 10 000 ans ( les autorités chinoises ont remplacé ce chiffre par 1 000 ans puis 100 ans plus tard à cause de la vulnérabilité) n’a pas pu accompli sa mission. Les autorités locales ignorant la sécurité des habitants en aval et libèrant les eaux de crue à pleine puissance. Le cours inférieur du Yangtsé, autrefois prospère, est aujourd’hui un terrain inondé avec de la boue partout.
Aux dires des internautes chinois : « Lutter contre le coronavirus au premier semestre, les inondations / séismes au second semestre, et la pauvreté toute l’année, mais pourquoi pas s’unir pour lutter contre le PCC ? » Pourquoi est-il si difficile de dire la vérité ? Vers où se dirige le destin de la Chine ?
Chercher la vérité
Après 5 000 ans d’histoire et de culture, la nation chinoise, qui respecte et honore les cieux et la vertu, conserve encore dans son cœur la dignité des anciens sages. Après un siècle d’occupation par le Parti communiste et de traumatisme causé par celui-ci, c’est le moment pour les Chinois de se réveiller et d’agir.
Car les ignorants souffrent le plus. Ceux qui croient aux mensonges du PCC et refusent la vérité se mettent en danger. Comme le dit le vieux dicton chinois : « Le ciel chérit toute vie, les cieux miséricordieux avertiront le monde avec la vérité avant la crise. »
Aujourd’hui, les États-Unis et l’Europe ont pris conscience de la nature perverse du PCC. Raison de plus pour que les Chinois fassent le bon choix pour revenir dans le droit chemin : dissoudre le PCC et chercher la vérité afin de se sauver et donner le salut au monde entier.
Rédacteur Yi Ming
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