Dans le vocabulaire chinois, les catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre, les tsunamis, les ouragans, les inondations, la peste, les sécheresses et les inondations, sont appelées « catastrophes qui tombent du ciel » car les Chinois dans le passé, de l’empereur au peuple, savaient tous que c’étaient des punitions arrangées par les cieux lorsque le karma (ou le péché) des gens était trop grand. Mais dans le lexique du Parti Communiste Chinois (PCC), qui prône l’athéisme, ces phénomènes sont décrits comme les catastrophes d’origine naturelle et traités comme des événements accidentels, oblitérant la révérence envers le ciel et la terre, les dieux et les bouddhas.
Dans son livre intitulé Notes du Jardin Jueyuan, Huang Shuyun raconte une histoire sur le mystère d’un tremblement de terre. Il permet au lecteur de visualiser plus clairement les causes et les conséquences des catastrophes dites « naturelles ».
Pourquoi les gens « bien » subissent aussi les catastrophes
Le septième jour du huitième mois lunaire de la trentième année du règne de l’empereur Daoguang de la dynastie Qing (12 septembre 1850), un tremblement de terre d’une magnitude d’environ 7,5 a frappé Xichang, dans la province du Sichuan, pendant la nuit. Les maisons de la ville se sont effondrées, tuant et blessant d’innombrables personnes et endommageant de nombreux bureaux du gouvernement.
Niu Shumei, alors gouverneur de Ningyuan dans le Sichuan, a malheureusement perdu son fils et a lui-même été blessé au talon, ce qui lui a rendu la marche difficile. Niu Shumei était un fonctionnaire honnête et diligent, à la moralité irréprochable : il était loué par le peuple. Il a été tellement indigné par le tremblement de terre dévastateur qu’il a écrit un essai pour remettre en question le dieu de la ville.
Sa principale requête était d’accuser le dieu de la ville d’avoir profité de l’encens de tout le peuple, mais de ne pas l’avoir protégé quand le désastre est arrivé. La ville était si grande, ses habitants étaient-ils tous mauvais? Il avait lui-même servi avec intégrité et en toute conscience en tant que fonctionnaire, mais son fils était mort et lui-même avait été blessé. Ne fallait-il pas faire confiance à Dieu ? Y avait-t-il un défaut dans le discernement des dieux ?
Les divinités épargnent les gens honnêtes avant que les catastrophes tombent du ciel
La nuit venue, il a rêvé que le dieu de la ville l’invitait. Ils se sont assis selon les rituels de l’hôte et de l’invité et le dieu de la ville lui a dit : « Vous êtes juste dans vos accusations, mais malheureusement vous ne pouvez pas comprendre les pensées des dieux et des démons. Je vous invite donc à venir discuter avec moi, afin de dissiper vos soupçons et vos calomnies. Ce n’est pas un hasard si la catastrophe a eu lieu. Tout cela est le résultat des péchés accumulés par les gens. »
Le dieu de la ville a poursuivi : « Le tremblement de terre a été précédé de cinquante ans d’enquête et d’enregistrement dans le monde souterrain. Tous ceux qui ne méritaient pas le désastre ont été déplacés ailleurs pour être protégés. Si de nouveaux péchés avaient été commis récemment, ils auraient été déplacés à nouveau et auraient dus être punis. Même s’il y avait des changements temporaires, ils étaient pris en compte et ne seraient jamais passés inaperçus. Les dieux n’auraient jamais ignoré la vie du peuple. »
Niu Shumei a demandé : « Si c’est le cas, n’existe-t-il pas un homme bon dans toute la ville ? Pourquoi ai-je été condamné, ainsi que mon fils ? »
Le dieu de la ville lui a répondu : « Il y a effectivement trois familles qui ont échappé à la catastrophe. Il était difficile de les déplacer hors de la ville en peu de temps, mais elles sont toutes saines et sauves maintenant. L’une était une veuve âgée, fidèle à son défunt mari et qui élevait son jeune petit-fils toute seule. L’autre était un médecin qui ne vendait jamais de faux médicaments et qui allait soigner tous ceux qui le demandaient, même s’il pleuvait, tard dans la nuit, et que les routes étaient boueuses, et la troisième était une vieille dame qui vendait des galettes, et son jeune petit-fils. Vous pourrez les trouver si vous retournez les chercher. »
« Le karma de votre fils était si lourd dans sa vie antérieure qu’il n’a pas pu s’en échapper. Même vous, monsieur, deviez à l’origine subir le sort tragique à cause de votre karma, mais parce que vous étiez un fonctionnaire honnête, vous avez été épargné et seulement blessé au talon. Bref, les dieux sont prudents dans leurs récompenses et leurs punitions, et ne sont en aucun cas partiaux. Il n’y a pas de hasard pour qu’une personne soit épargnée ou punie. M. Niu, si vous travaillez bien pour devenir un bon fonctionnaire, vous serez promu au rang de magistrat à l’avenir. », a précisé le Dieu de la ville.
Le Ciel ne se trompe pas dans son discernement de bien et de mal
Après avoir entendu cela, M. Niu a remercié le Dieu de la ville et s’est excusé. Quand il s’est réveillé, il a cherché partout et a trouvé la veuve âgée et le médecin. Toute leur famille était saine et sauve. Quand à la vieille femme qui vendait des galettes, il a fini par la retrouver après de nombreuses recherches, sous les chevrons de la maison effondrée. Lorsque M. Niu l’a interrogée à ce sujet, elle a répondu qu’elle avait l’habitude de vendre des galettes ici et qu’elle offrait même gratuitement des galettes aux personnes âgées ou handicapées très pauvres.
Un jour ou deux avant le tremblement de terre, le nombre de ses clients avait soudainement augmenté et la demande avait dépassé l’offre. Elle avait donc emmené son jeune petit-fils pour fabriquer des galettes la nuit pour répondre au besoin de ses clients. Après le tremblement de terre, ils sont restés coincés pendant trois jours sous la maison effondrée. Ils ont donc mangé ces galettes fraichement fabriquées pour se nourrir avant d’être secourus.
Surpris, M. Niu a été convaincu du principe de la causalité. Il a travaillé encore plus dur pour devenir un meilleur fonctionnaire et il a été effectivement promu au poste du magistrat du Sichuan plus tard.
La cause profonde des catastrophes célestes
Cette histoire peut illustrer le fait que les catastrophes telles que les tremblements de terre se produisent parce que les gens ne connaissent pas les voies de Dieu et des démons. Non seulement ils n’améliorent pas leur moralité selon les enseignements de Dieu, mais au contraire corrompent leur moralité pour des désirs égoïstes et maudissent Dieu, ce qui peut inviter les tremblements de terre à se produire. Cette histoire enseigne aussi que, dans le monde humain, le seul moyen d’éviter les catastrophes naturelles et anthropiques et de se sauver serait de revenir à une foi juste en Dieu, d’améliorer sa vertu et d’être bon envers les autres.
La pandémie qui se répand aujourd’hui dans le monde est apparue en Chine et n’a pas cessé jusqu’à aujourd’hui. Même la vaccination, ne peut pas arrêter l’émergence des variants. Chaque vague de l’épidémie dure environ trois mois, de la montée au pic puis à la disparition avant que la vague suivante ne recommence.
Selon les principes du taoïsme, il y aurait des raisons derrière cela. Chen Tuan, un maître taoïste de la fin de la dynastie Tang et du début de la dynastie Song, a écrit dans son livre Le livre du cœur : « La peste n’est pas causée par le destin, mais la malédiction de la terre et la malédiction des cieux », soulignant l’origine de la peste : le manque de respect aux dieux et la malédiction des cieux.
Vérité, Bonté, Tolérance : la racine véritable de l’être
En 1992, le Falun Gong, une pratique bouddhiste de haut niveau, a été transmise en Chine. Cette pratique a rapidement rencontré un grand succès auprès de la population. Elle était reconnue pour être extrêmement efficace pour dissiper les maladies et améliorer la santé. De plus, les pratiquants appliquaient dans leur vie les principes de Vérité, Bonté et Tolérance, et leur état d’esprit s’améliorait rapidement. Le Falun Gong était connu sous le nom de « Grande Loi de la Vertu », qui était bénéfique pour le pays et le peuple moralement, physiquement, et économiquement.
Cependant, depuis 1999, le parti communiste chinois a utilisé toutes sortes de moyens pour réprimer et persécuter le Falun Gong : allant jusqu’à commettre des crimes tels que le prélèvement forcé d’organes sur les personnes vivantes et non consentantes,. Le Parti communiste chinois a également utilisé la coercition économique pour infiltrer le monde entier et transmettre sa vérité. Le monde voyait le PCC, tel que ce dernier voulait être vu. Ainsi, le monde n’a pas eu connaissance d’un crime aussi grave. Le monde conquis par le mensonge diffusé par le PCC, a même participé à divers projets communistes chinois tels que l’initiative Nouvelle route de la Soie et les Instituts Confucius. Ce qui a rendu le Parti communiste incontrôlable. De même les institutions mondiales, telles que l’OMS sont infiltrées et contrôlées par le PCC, d’où le retard dans l’enquête de l’origine de cette pandémie.
Mais l’homme n’est pas impuissant face à la catastrophe car le maître taoïste Chen Tuan a clairement indiqué la cause de la peste dans le Livre du cœur « La peste n’est pas causée par le destin, mais la malédiction de la terre et la malédiction des cieux » et il a suggéré une solution efficace : changer d’avis et honorer le ciel, la terre et Dieu, faire de bonnes œuvres selon l’enseignement de Dieu. À la lumière de la réalité d’aujourd’hui, la plus grande intention et la meilleure action permettant de se protéger est d’apprendre la vérité.
Ainsi, une action s’est mise en place : prenant sa source aux Etats-Unis, elle se répand partout dans le monde. Il s’agit de End CCP, une action qui a pour but de faire connaître la vraie nature du PCC, tout en appelant, comme son nom l’indique, à mettre fin au parti-état de la Chine, le PCC, de manière à permettre à ce pays de recouvrer les droits inaliénables nécessaires à toute personne vivant dans un pays démocratique.
Rédacteur Yi Ming
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