Selon le Livre noir du communisme, l’idéologie communiste a causé la mort de près de 100 millions de personnes. La plupart des gens pensent que Karl Marx était athée. Lui-même a propagé de tels idéaux, mais une enquête sur l’individu nous permet de découvrir qu’il s’agissait, de sa part, d’un stratagème pour déconnecter du divin les adeptes du marxisme.
Quant à Marx, il a toujours porté en lui des tendances sataniques qui se sont manifestées dans ses poèmes et ses livres. Il n’est pas si difficile de comprendre pourquoi le communisme s’est avéré être la force destructrice qu’il incarne.
L’agent au service du mal
On peut percevoir le côté satanique de Marx dans les nombreux poèmes qu’il a écrits, dans lesquels il s’en prend à Dieu et se range du côté du diable. Dans certains poèmes, il s’assimile à Dieu, se dotant d’un pouvoir sur toute la Création. Dans une partie d’un poème intitulé Fierté humaine, Marx révèle son désir de prendre la place de Dieu.
« Les mots que j’enseigne sont tous mêlés dans une confusion démoniaque.
Ainsi, chacun peut croire vrai ce qu’il choisit de penser.
Dédaigneusement, je jetterai mon gant
A la face du monde
Et verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’éteindra pas mon ardeur
Puis comme un dieu victorieux j’irai au hasard
Parmi les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles puissance d’action
Je me sentirai l’égal du Créateur. »
Les deux premières lignes du poème illustrent également l’un des objectifs principaux du marxisme : créer la confusion. Par un usage habile des mots, les communistes font croire aux gens qu’ils peuvent penser ce qu’ils veulent, qu’ils n’ont pas à se préoccuper du bien ou du mal, puisque la moralité est « arbitraire ». Et en faisant de cette croyance le fondement de la société, les communistes sont capables de créer une grande anarchie.
Quelques versets du poème Le violoneux sont encore plus explicites en révélant le culte obsessionnel que Marx vouait à Satan.
« Jusqu’à m’ensorceler, à dérégler mes sens :
Avec Satan, j’ai fait affaire, et depuis lors
C’est lui qui tient mes comptes, lui qui bat la mesure
Et moi, toujours plus libre, je joue la marche funèbre »
Le côté destructeur de Marx est mis en évidence dans l’un de ses poèmes inachevés, qu’il a écrit durant sa jeunesse. Poème intitulé : Oulanem : Une tragédie, dont voici quelques vers :
« Le monde qui fait écran entre moi et l’abîme,
Je le fracasserai en morceaux à force de malédictions.
J’étreindrai dans mes bras sa dure réalité :
Dans mes embrassements, il mourra sans un mot,
Et sombrera dans le néant total,
Mort, sans existence, la vie ce sera cela ! »
(Mises).
Tous ces poèmes évoquent une personne seule et psychologiquement blessée, en colère contre tout - en colère contre Dieu, en colère contre la société, en colère contre l’humanité et en colère contre quiconque pense différemment. En fait, son désir de destruction semble être motivé par la prise de conscience de son insignifiance et de son inutilité. Pour comprendre pourquoi Marx se sentait insignifiant, il faut examiner le cours de sa vie.
Pendant plusieurs années, Marx vécut enfermé chez lui pour écrire les différentes théories du communisme. Son ami Frederick Engels était celuiqui travaillait et lui procurait de l’argent. En fait, Engels donnait tous les mois à son ami la moitié de ses revenus. Marx a pu vivre sa vie et prendre soin de sa famille essentiellement grâce à cet argent. Etant donné que la plupart des hommes construisent leur identité en travaillant, et en prenant soin de leur famille, le fait d’avoir à solliciter l’aide d’une autre personne pour subvenir à ses besoins, pendant toute sa vie d’adulte, a pu, dans une certaine mesure, engendrer chez Marx un sentiment d’inutilité.
Apparenté aux Rothschild
Engels n’était pas le seul à lui venir en aide. Marx était aussi apparenté à la famille Rothschild et aurait été employé par elle pour corrompre la démocratie. « L’un des grands-parents de Marx était Nanette Salomon Barent-Cohen, qui appartenait à une riche famille d’Amsterdam. Sa cousine avait épousé Nathan Mayer Rothschild et donné naissance à Lionel Nathan Rothschild, " Baron " et député de la ville de Londres, » selon News Punch.
Communisme et cannibalisme
Une des choses les plus sataniques qu’un être humain puisse faire dans sa vie est de manger un individu de son espèce. Le régime communiste est connu pour avoir pratiqué le cannibalisme. Cela a été le cas en Russie et en Chine. Les idéologies utopiques finissent par plonger les gens dans une telle pauvreté et une telle famine, que beaucoup d’entre eux finissent par choisir de manger une autre personne, plutôt que de mourir dans la dignité.
Durant la famine soviétique, entre 1921 et 1922, il est bien connu que certains paysans se sont livrés au cannibalisme. Lénine était apparemment ravi que la famine tue des millions de personnes car il croyait qu’elle mettrait fin à la foi du peuple dans le tsar et en Dieu. Il pensait que le socialisme résulterait de la famine. Selon les estimations, entre 5 et 10 millions de personnes sont mortes au cours de cette effroyable période. L’Union Soviétique a connu une autre période de famine majeure entre 1932 et 1933, sous Staline. Les gens ont non seulement pratiqué le cannibalisme sur des cadavres humains, mais aussi sur des enfants qu’ils kidnappaient.
La Chine a connu des périodes aussi abominables sous le règne implacable de Mao. Ses choix politiques ont en partie été à l’origine de la famine qui a sévi pendant quatre ans, entre 1958 et 1962, et qui a causé la mort de 15 à 30 millions de personnes. Et, comme en Russie, certains Chinois ont eu recours au cannibalisme pour rester en vie. Dans une commune, on a découvert que des personnes mangeaient des cadavres et les vendaient même sous forme de viande de porc. Certains ont tué leurs propres enfants. Mao a fermé les yeux devant cette tragédie. En fait, lui et les membres de son parti pensaient que la famine était la punition pour ceux du peuple qui ne croyaient pas au Parti communiste chinois.
La destruction complète de la spiritualité et du caractère sacré de la vie a, sous le régime communiste, conditionné mentalement les gens à considérer leurs semblables simplement comme des objets. Par conséquent, lorsque la famine a frappé, ils en sont venus à considérer les humains comme une source potentielle de nourriture. Cette chose n’aurait jamais pu se produire dans des lieux où les gens sont fortement ancrés dans leurs traditions spirituelles. Le caractère sacré de la vie humaine aurait empêché les gens de commettre des actes aussi odieux.
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