Le prélèvement forcé d’organes sur des Chinois par le Parti communiste chinois (PCC) est mondialement connu de nos jours. De nombreux médias internationaux ont rapporté à plusieurs reprises le prélèvement forcé d’organes par le PCC sur des pratiquants de Falun Gong, des étudiants, des femmes enlevées, des dissidents et des sans-abri… Cependant, face à la condamnation mondiale, le PCC a non seulement refusé de cesser ses actions, mais il a étendu ses prélèvements d’organes à une échelle mondiale.
Le parti communiste chinois souhaite partager les plates-formes de transplantation d’organes avec Hong Kong, Taïwan et les pays d’Asie de l’Est
Huang Jiefu, l’ancien vice-ministre de la santé du Parti communiste chinois, a déclaré en janvier dernier qu’il souhaitait exporter des organes vers Hong Kong et Macao, afin de promouvoir la « construction d’un mécanisme de partage d’organes entre la Chine continentale et Taïwan » et de créer un lien entre les pays participants de l’Initiative de la Nouvelle Route de la Soie. Huang Jiefu s’est même rendu en personne à Taïwan pour proposer une « coopération entre les deux rives du détroit en vue d’établir une plateforme de transplantation d’organes », ce qui a suscité une vive réaction de la part du public. Récemment, le bruit a couru que le Parti communiste chinois discutait du partage d’organes avec des groupes du Japon et de la Corée du Sud, ce à quoi se sont opposées les associations d’éthique de la transplantation d’organes de ces deux pays.
Récemment, Lo Chung-mau, directeur du Bureau de la Santé de Hong Kong, s’est rendu à Pékin pour rencontrer Huang Jiefu pour échanger avec la Fondation chinoise pour le développement de la transplantation d’organes. À son retour à Hong Kong, Lo Chung-mau a annoncé son intention de promouvoir le partage d’organes entre Hong Kong et la Chine.
Lo Chung-mau a indiqué que le développement du don d’organes en Chine continentale est rapide et que Hong Kong devrait saisir l’occasion des « donneurs d’organes en état de mort cérébrale en Chine continentale qui font don de leurs organes aux patients de Hong Kong » et établir un meilleur mécanisme de coopération pour que le don d’organes vers la Chine continentale ou de la Chine continentale vers Hong Kong devienne une pratique régulière.
Les habitants de Hong Kong ont réagi sans détour : « Le parti communiste chinois commence à considérer les corps des Hongkongais comme des " banques d’organes " ». S’ils refusent de donner leurs organes à l’avenir, le gouvernement va-t-il les arrêter sous prétexte d’atteinte à la sécurité nationale ?
Le Parti communiste chinois à l’origine d’un réseau de prélèvement forcé d’organes dans le nord du Myanmar
Récemment, un soi-disant directeur général du groupe Henry a révélé en ligne que des organes humains étaient vendus à des prix publics dans le Nord du Myanmar : 950 000 yuans pour un cœur et 1,25 million de yuans pour un rein, …
Les internautes ont découvert que le véritable nom de la personne qui avait révélé l’information était Zhao Haibo, originaire de Yanbian, dans la province de Jilin, dans le Nord de la Chine, qui est aujourd’hui le gendre d’un chef militaire du nord du Myanmar. Zhao Haibo a explicitement affirmé à ses fans féminines en direct que si elles venaient le voir, il prélèverait simplement leurs organes et enterrerait la « coquille vide », comme le faisait auparavant le groupe Henry. Dans les jungles du Nord du Myanmar, de nombreuses fosses renferment des corps de Chinois disparus sans laisser de traces.
En approfondissant leurs recherches, les internautes ont découvert que le Parti communiste chinois était à l’origine du réseau de prélèvement forcé d’organes dans le nord du Myanmar. Certaines organisations locales de la Croix-Rouge et certains hôpitaux de Chine continentale étaient de connivence avec les autorités politiques et policières pour fournir secrètement des organes à certaines « sociétés », « groupes » et « entreprises » du nord du Myanmar au nom de la recherche sur la vie et la santé et de projets providentiels.
Les États-Unis adoptent une loi sanctionnant le prélèvement forcé d’organes par le Parti communiste chinois
Aux États-Unis, le 27 mars, la Chambre fédérale des représentants a voté à une écrasante majorité le projet de loi Stop Forced Organ Harvesting 2023 Act, qui sanctionne toutes les personnes impliquées dans le crime de prélèvement forcé d’organes par le Parti communistes chinois sur des prisonniers d’opinion. Les sanctions applicables aux participants sont les suivantes : des condamnations civiles pouvant aller jusqu’à 250 000 USD et des condamnations pénales pouvant aller jusqu’à 1 million USD et 20 ans d’emprisonnement. Il s’agit de démontrer l’attitude des États-Unis à l’égard des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre.
Lorsque le projet de loi a été adopté, il a suscité des réactions diverses dans les secteurs médicaux et des soins de santé, dans les milieux politiques et juridiques et parmi les responsables du Parti communiste chinois. Certains observent, d’autres sont quelque peu touchés et d’autres ne prennent pas la chose à cœur. Un membre du personnel de la Croix-Rouge de Zhengzhou a répondu : « Les États-Unis ne peuvent pas nous contrôler, nous avons encore des ressources pour les hôpitaux ». Un médecin de Hangzhou a fait savoir : « Mon fils est aux États-Unis. J’attends de prendre ma retraite, je ne le ferai plus. »
Résister aux atrocités du Parti communiste chinois et défendre le bien
Le Parti communiste chinois tue des innocents, prélève des organes pour en tirer d’énormes bénéfices en profitant de l’espoir des malades qui veulent continuer à vivre. Aujourd’hui, le Parti communiste chinois ne se contente pas d’autoriser les agences de transplantation d’organes à se rendre publiques, il va même jusqu’à étendre le prélèvement forcé à l’étranger, défiant ainsi le projet de loi américain visant à y mettre un terme. C’est le mal qui défie la justice, et le monde doit défendre la justice et la conscience, la dignité humaine, les droits de l’homme et la dignité de la vie. Sinon, les victimes de demain pourraient être nos enfants.
Au cours de l’histoire, le communisme a tué plus de 100 millions de personnes dans le monde par des massacres, des persécutions, des campagnes politiques, etc. Les vices violents et meurtriers du communisme ont été documentés par les différents pays du monde. Cependant, dans le monde moderne de l’indulgence lucrative et de la décadence morale, de nombreuses personnes ont suivi le mouvement et ont fini par sombrer dans la pandémie.
C’est une vérité éternelle que le bien et le mal finiront par être rétribués, et que le mal ne peut l’emporter sur le bien. Pour le monde, rester à l’écart du Parti communiste chinois, conserver sa nature pure et bonne, suivre la moralité, la pensée et la conduite traditionnelles en revenant aux valeurs universelles traditionnelles de bienveillance, de droiture, de bienséance et d’amour, telle est la seule garantie de traverser la grande catastrophe et aller vers la vie ou la mort.
Rédacteur Yi Ming
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