La Seconde Guerre mondiale a été une catastrophe dans l’histoire de l’humanité. Toutefois, c’est la montée en puissance de l’Union soviétique rouge et de la Chine rouge après la Seconde Guerre mondiale qui a marqué le début de la vraie catastrophe pour l’humanité. Plus de deux fois plus d’êtres humains sont morts aux mains des communistes par rapport au nombre de morts pendant les deux guerres. Ce qui est étrange, c’est qu’à des moments critiques, des personnes importantes, capables de modifier et d'orienter le cours de l’histoire du monde, sont mortes l’une après l’autre ou ont temporairement perdu leur pouvoir. Tout cela ne peut s’expliquer par des « coïncidences ». Et les prophéties liées à ces personnages font apparaître les traces d’une histoire manipulée dans l’ombre.
La mort de Roosevelt et la prédiction de Jeane Dixon sur le régime communiste en Chine
Le 12 février 1945, le président Roosevelt a quitté la conférence de Yalta pour l’Égypte et a embarqué sur le croiseur USS Quincy, qui naviguait sur le Grand Lac Amer près du canal de Suez, arrivant au port le 18 février. Roosevelt y a rencontré les ambassadeurs des États-Unis en Grande-Bretagne, en France et en Italie. À Yalta, Lord Moran, le médecin du Premier ministre Winston Churchill, a dit à propos de la mauvaise santé de Franklin Roosevelt : « Il est très malade. Il présente tous les symptômes d’une sclérose cérébrale tardive. Je pense que sa vie ne durera plus que quelques mois ».
À son retour aux États-Unis, Franklin Roosevelt a fait un rapport sur la conférence de Yalta au Congrès américain le 1er mars. Nombreux étaient choqués de voir Roosevelt, alors pâle et flétri, s’adresser au Congrès dans un fauteuil.
En mars 1945, il a vivement accusé Staline de ne pas tenir les promesses faites à Yalta sur la Pologne, l’Allemagne, les prisonniers de guerre et d’autres questions. Lorsque Staline a accusé les Alliés occidentaux de préparer une paix éloignée de la réalité dans l’ombre de la dictature hitlérienne, Franklin Roosevelt a répondu : « Je ne peux m’empêcher de me sentir à la fois malheureux et indigné que vos informateurs - quels qu’ils soient - déforment les faits d’une manière aussi désagréable à propos de mes actions ou de celles de mes subordonnés de confiance ».
Dans l'après-midi du 12 avril 1945, Franklin Roosevelt était occupé à son travail lorsqu’il a soudain lancé : « J’ai un mal de tête qui me tue ». On lui a diagnostiqué par la suite une hémorragie cérébrale et il est décédé le soir même.
En fait, dès novembre 1944, la santé de Roosevelt se détériore. Il demande alors à son secrétaire personnel de contacter la prophétesse Jeane Dixon pour connaître le temps qu’il lui restait à vivre.
Après avoir examiné attentivement la paume de la main du président Roosevelt, Jeane Dixon lui a répondu : « Six mois, peut-être moins. » Franklin Roosevelt a répété sa question à Jeane Dixon : « Combien de temps me restera-t-il pour terminer mon travail, des années ? » Jeane Dixon lui a répondu : « Pas des années. Pas en années, Monsieur le Président, mais en mois, pas plus que six mois. »
Lors de sa rencontre avec Franklin Roosevelt, Jeane Dixon a également prédit la situation internationale à la demande de Franklin Roosevelt : « Une fois la guerre terminée, l’alliance se disloquera. Les Russes rivaliseront avec les États-Unis pour l’Europe et l’Asie, pour les fruits de la Seconde Guerre mondiale. De nombreux petits et moyens pays d’Europe de l’Est et d’Asie deviendront des régimes rouges, et la Russie deviendra le chef de file des pays communistes, rivalisant avec les États-Unis dans le domaine de l’armement de pointe. Les États-Unis et la Russie seront dans une confrontation et une compétition militaires permanentes. Toutefois, à terme, nous serons toujours alliés à la Russie contre la Chine rouge ».
« La Chine rouge ? C’est impossible ! Nous n’avons absolument aucun conflit avec la Chine. Nous avons formé une alliance avec la Russie pour maintenir notre position dans le monde et pour survivre », a répondu Franklin Roosevelt.
Jeane Dixon a regardé attentivement l’image qui se formait dans la boule de cristal avant de déclarer : « Je vois que les communistes prendront le pouvoir en Chine et que le régime actuel en Chine ira s’installer sur une île ayant la forme d’une feuille (Taïwan). La Chine communiste sera notre deuxième plus grand souci diplomatique ».
La prophétie d’Hitler sur la fin de la guerre et sa mort
Hitler avait prédit la fin de la Seconde Guerre mondiale à son médecin personnel : « Les Soviétiques nous couperont de larges portions de notre territoire, de nombreux peuples germaniques de l’est de l’Allemagne seront contraints de quitter leur foyer et l’Allemagne sera divisée en deux États hostiles, une situation qui perdurera jusqu’à la fin du siècle. »
Après la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ont occupé le pays vaincu, l’Allemagne, et plus tard, dans les zones occupées par les États-Unis et l’Union soviétique, la République fédérale d’Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA) ont été établies, respectivement, et depuis lors, l’Allemagne a été divisée en deux.
En juin 1941, Hitler a ordonné l’invasion de l’Union soviétique. À la fin de l’année 1941, l’Allemagne et ses alliés européens de l’Axe ont envahi et occupé la majeure partie de l’Europe et de l’Afrique du Nord. La situation défavorable dans la guerre avec l’Union soviétique et l’entrée des États-Unis ont conduit l’Allemagne à passer de l’attaque à la défense et à subir des défaites stratégiques répétées.
À la fin de la guerre, lors de la bataille de Berlin en 1945, Hitler a épousé sa compagne de longue date, Eva Braun. Deux jours après leur mariage, le 30 avril 1945, Hitler et Eva Braun se suicidaient pour éviter d’être capturés par l’Armée rouge soviétique, qui avait fait entrer des chars dans la ville, et leurs corps ont été brûlés et récupérés par l’Armée rouge soviétique.
Churchill a perdu les élections à la fin de la Seconde Guerre mondiale
Winston Churchill a perdu les élections générales britanniques de juin 1945, à une époque où il jouissait d’une réputation nationale et internationale, face au parti travailliste, ce qui lui a valu le titre de « chef de l’opposition ».
La mission et la mort du général Patton
Le général Patton a écrit dans son journal : « L’armée américaine est clairement plus forte que la Russie soviétique, alors pourquoi ne pas la combattre immédiatement ? Mais ce n’était tout simplement pas possible maintenant. Il y avait encore une guerre contre le Japon, la Russie soviétique était encore l’un des Alliés, et les États-Unis n’auraient pas voulu étendre la guerre à l’Europe de l’Est à ce moment-là. Je ne peux que regarder les milliers de réfugiés fuyant l’Armée rouge de la Russie soviétique se rendre dans la zone de défense américaine pour y être protégés ».
À ce moment-là, le général Patton a supplié les commandants alliés de lui permettre de rejoindre le théâtre du Pacifique pour aider Tchang Kaï-chek, le commandant du théâtre chinois, dans la guerre contre le Japon, mais sa demande a été rejetée.
À cette époque, l’Allemagne nazie et le Japon ont capitulé et Patton a été nommé chef du gouvernement militaire bavarois, dans le Nord de l’Allemagne, afin de mener à bien la tâche de dénazification. Le général Patton a toujours pensé que le bloc communiste serait l’ennemi numéro un du monde libre à l’avenir, et il était donc favorable à l’indulgence à l’égard de l’ancienne Allemagne nazie.
Le général Patton pensait que tous les Allemands n’étaient pas membres du parti nazi et que nombre d’entre eux y adhéraient par souci de performance et de promotion, plutôt que pour s’identifier au nationalisme extrême et à la violence des nazis, et que le parti nazi était un parti politique ordinaire, comme les Démocrates et les Républicains aux États-Unis. Le général Patton a écrit dans son journal : « Je veux remplir ma mission en combattant côte à côte avec les Allemands en tant qu’alliés pour vaincre l’Armée rouge de la Russie soviétique. »
Bien qu’il n’ait que 60 ans, il sentait que son heure approchait et sa famille lui a conseillé de ne pas y penser. Patton a écrit dans son journal : « J’aimerais être encore jeune pour pouvoir combattre l’Armée rouge soviétique à l’avenir… Plus j’y pense, plus je m’inquiète… Pourquoi les autorités ne me permettent-elles pas de prendre Berlin avant l’Armée rouge soviétique ? Qui peut arrêter la montée en puissance des communistes ? »
Quittant les États-Unis et arrivant en Allemagne, le général Patton a accepté la mission de commander le quinzième corps d’armée américain et de rédiger une histoire de la guerre, un poste moins prenant. Peu après sa prise de fonction, Patton a prévu de rentrer aux États-Unis pour Noël tout en planifiant sa démobilisation. Deux jours avant son départ, à l’occasion d’une partie de chasse près de Spire, il a été grièvement blessé lors d’un malheureux accident de voiture.
Le 21 décembre 1945, 12 jours après l’accident, le général Patton est décédé dans son sommeil, à l’âge de 60 ans, d’un œdème pulmonaire et d’une insuffisance cardiaque.
Le maître zen Xuyun a prédit la fin de la Seconde Guerre mondiale
Selon les archives, en novembre 1942, pendant la guerre de résistance contre le Japon, le président Lin Sen de la République de Chine s’est rendu au temple zen de Nanhua pour inviter le maître zen Xuyun à venir à Chongqing pour présider la « Conférence du Dharma de la Grande Compassion sur la protection de la nation et l’atténuation des catastrophes ».
À cette époque, de nombreux dignitaires de la République de Chine s’étaient également convertis en disciples du Vénérable Xuyun. Celui-ci était d’ailleurs l’invité de Tchang Kaï-chek. Au cours de la cérémonie, Tchang Kaï-chek a demandé à Xuyun quelle serait la situation future de la guerre contre le Japon et de la Seconde Guerre mondiale.
À la question soudaine de Tchang Kaï-chek, Xuyun est resté sans réponse. Il a réfléchi un moment, a sorti un morceau de papier de sa poche et a demandé au serveur de trouver une paire de ciseaux. Il a découpé trois motifs, l’un étant le motif de la « croix » (十) représentant l’Italie, l’autre le motif la « croix gammée nazie » (卐) représentant l’Allemagne, et le caractère chinois « soleil » (日) représentant le Japon, qui causait des ravages sur le territoire chinois en ce moment-là.
Le moine Xuyun a réfléchi un moment, puis il a dit que cette fois-ci, après la victoire de la guerre de résistance, la Chine aurait un aspect différent. Tchang Kaï-chek était perplexe et demanda de quel genre de changement il s’agissait. Le vieux moine est resté silencieux et a cessé de répondre.
Comme l’avait prédit le vieux moine Xuyun, trois ans plus tard, l’Italie a été le premier pays à se rendre sans condition, suivie par la défaite de l’Allemagne, et enfin, le Japon a dû signer un accord de reddition. Immédiatement après, la Chine est entrée dans une guerre civile qui ne s’est apaisée qu’en 1949.
La mort de Dai Li sur la montagne Dai
Chef des services de renseignements de la République de Chine, Dai Li a fondé le Bureau des enquêtes et des statistiques de la Commission militaire du gouvernement national et en a été le directeur adjoint, ainsi que le directeur de l’Institut sino-américain de coopération technique spéciale. En raison de ses déplacements imprévisibles et mystérieux, il a été qualifié de « figure mystérieuse de l’Asie » et de « figure la plus mystérieuse de l’histoire moderne de la Chine » par un magazine américain.
Au cours de la guerre de résistance contre le Japon, Dai Li et le Bureau du renseignement militaire qu’il dirigeait ont accompli des exploits remarquables pour la République de Chine. Le 17 mars 1946, Dai Li est décédé dans l’accident de son avion spécial en provenance de Beiping.
Ce jour-là, Dai Li a pris l’avion de Qingdao à Nanjing. En raison des nuages noirs au-dessus de Nanjing, du tonnerre et des éclairs, il n’a pas eu d’autre choix que de voler jusqu’à Shanghai. Mais les conditions météorologiques à Shanghai ne permettaient pas non plus l’atterrissage d’un avion, et l’avion n’a pu que passer à Xuzhou. En chemin, l’avion s’est écrasé dans la banlieue ouest de Nanjing sur la montagne Dai, où Dai Li a trouvé la mort. Après son départ pour Taïwan, Tchang Kaï-chek a confié : « Si Dai Li n’était pas mort, le gouvernement n’aurait pas perdu la Chine continentale ».
Tchang Kaï-chek a prophétisé que la fin des 1 000 ans mentionnée dans l’Apocalypse arriverait bientôt
En 1957, Tchang Kaï-chek a souligné que le communisme était un culte qui dénigrait le Créateur : « Aujourd’hui, au XXe siècle, il existe également un esprit maléfique, une fausse philosophie, qui s’infiltre dans le cœur des hommes par le biais du mensonge et de la tromperie. Elle prive les hommes de leur liberté par des méthodes vicieuses, brutales et inhumaines et se déchaîne. Tant que le communisme ne sera pas arrêté, il n’y aura pas de paix dans le monde. Il n’y aura pas de paix dans le monde tant que le communisme ne sera pas détruit. Le communisme d'aujourd’hui a en effet dépassé la fausse philosophie et est devenu une fausse religion. Les communistes ne reconnaissent pas le Seigneur qui a créé tout ce qui existe dans l’univers, mais adorent leur égo, et sont en fait les idolâtres les plus méprisables de l’histoire ».
Tchang Kaï-chek a également averti son peuple que la fin des 1000 ans semblait être arrivée, comme le prophétise mentionnée dans l’Apocalypse. Tchang Kaï-chek a vu la manifestation du communisme sur terre, ce qui confirmait exactement la prophétie dans l’Apocalypse : « Quand les 1000 ans seront passés, Satan sera relâché de sa prison et il sortira pour égarer les nations qui sont aux quatre coins de la terre ». Tchang Kaï-chek a rappelé à l’humanité : le communisme est le plus grand fléau auquel l’humanité est confrontée depuis la création de l’univers par Dieu.
En 1960, Tchang Kaï-chek a écrit : « Les bandits arrogants du communisme crient qu’ils doivent détruire toutes les religions du monde, qu’ils pourront détruire tous les êtres humains qui ne veulent pas adorer leur communisme, et qu’eux, les communistes, doivent régner sur le monde. Toutes leurs persécutions, leurs luttes, leurs fausses accusations et leurs procès publics d’aujourd’hui sont exactement comme le démon " Satan " de l’époque du Nouveau Testament, il y a 1900 ans. »
Rédacteur Tchen Sixuan
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