Tout au long de votre vie, quel que soit votre statut ou votre richesse, n’oubliez pas de bien traiter votre mère. (Image : Andrea Piacquadio / pexels)
Il était une fois une femme riche dont la fortune dépassait largement le milliard de dollars. Lors d’une sortie shopping, elle fut victime d’un léger accident de voiture. Heureusement, l’accident n’était pas grave et elle n’avait que quelques égratignures. Après avoir emmené sa voiture accidentée dans un atelier de réparation, elle s’aperçut que la maison de sa mère se trouvait à proximité, un endroit qu’elle n’avait pas visité depuis longtemps.
Une nuit à la maison parentale
La femme fortunée alla donc passer la nuit chez ses parents. En partant le lendemain, elle prit les vêtements que lui tendait sa mère et constata que les déchirures de la tenue qu’elle portait lors de l’accident avaient été méticuleusement réparées.
Elle fut un peu émue, mais aussi un peu consternée : elle avait beaucoup d’argent et pouvait facilement s’offrir de nouveaux vêtements. Elle avait l’intention de jeter les vêtements en rentrant chez elle, mais son emploi du temps chargé lui fit l’oublier et elle finit par porter la robe raccommodée à diverses occasions, et conclut même une importante affaire de longue date alors qu’elle la portait. Ce n’est que tard dans la soirée qu’elle se souvint de l’état de ses vêtements, qu’elle enleva sa robe et la jeta à la poubelle.
Elle avait beaucoup d’argent et pouvait facilement s’offrir de nouveaux vêtements. (Image : Rachel Claire / pexels)
Le compliment inattendu
Le lendemain matin, lors de la signature officielle du contrat qu’elle avait conclu la veille, son client lui demanda : « Pourquoi ne portez-vous pas la robe rapiécée que vous portiez hier ? » Un peu gênée, elle répondit : « Je l’ai enlevée pour la laver ». Le client lui fit alors remarquer : « Vous ne le savez peut-être pas, mais nous avons décidé de signer le contrat avec vous précisément à cause de ces reprises sur votre robe. Nous avons compris que vous étiez une personne simple et travailleuse, et une personne simple et travailleuse est sans aucun doute le meilleur partenaire ! »
La femme riche rentra chez elle et fouilla dans les poubelles pour retrouver la robe rapiécée. Après l’avoir lavée, elle la suspendit dans un coin discret de son armoire, pensant qu’elle pourrait lui être utile un jour.
Réchappée d’un grave danger
Une semaine passa. Un matin, alors qu’elle s’apprêtait à partir au travail, deux policiers se présentèrent à son domicile. Il s’avérait qu’une autre femme riche avait été kidnappée et tuée la semaine précédente. Les ravisseurs furent appréhendés le soir même. Au cours de leur interrogatoire, ils avouèrent que leur cible initiale était notre protagoniste, raison pour laquelle la police était venue lui conseiller d’être prudente.
Choquée, la riche femme demanda aux policiers : « Pourquoi ne m’ont-ils finalement pas enlevée ? » « Parce que vous portiez une robe rapiécée », répondirent-ils. « En voyant le patch sur votre robe, les ravisseurs ont supposé que vous n’étiez pas aussi riche que les rumeurs le laissaient entendre, car une personne riche n’aurait pas porté de vêtements rapiécés ».
Comme sa robe était rapiécée, les ravisseurs la laissèrent tranquille. (Image : Teona Swift / pexels)
Le poids de l’amour d’une mère
À ce moment-là, la femme fut remplie d’émotions profondes. Elle n’aurait jamais pensé qu’une robe raccommodée pouvait lui sauver la vie. Après le départ de la police, elle ouvrit son armoire, sortit la robe et caressa tendrement les points de reprises, versant des larmes comme un enfant.
Tout au long de votre vie, quel que soit votre statut ou votre richesse, n’oubliez pas de bien traiter votre mère. L’amour d’une mère est comme un ruisseau subtil, silencieux mais capable de nourrir une âme desséchée. Il est ordinaire, mais il est d’une grandeur inouïe. Parfois, l’amour maternel est un médicament puissant qui sauve l’âme au bord du désespoir. D’autres fois, il est un phare sur la mer de la vie, qui nous guide vers la lumière, hors de nos chemins périlleux. De même qu’il est impossible à l’herbe quelconque de rendre la lumière du printemps dont elle dépend pour sa croissance, de même il nous est impossible de rendre pleinement l’immense amour que nos mères nous ont donné.
